L’enfance par le cinéma : Les 400 coups

Un fil directeur

directeur/ diriger = être à la tête de quelque chose, commander/ avoir un sens, une orientation particulière

Film « Les quatre cents coups » (1958)

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Premier film du réalisateur François Truffaut

Expression « faire les 400 coups » : faire des bêtises, vivre des aventures folles (le plus souvent, employée pour parler de sa jeunesse/ Exemple : « Ensemble, on a fait les quatre cents coups. »

La Nouvelle Vague = courant cinématographique né à la fin des années 50 en France, sous l’impulsion d’une nouvelle génération de cinéastes. Exemple d’un autre réalisateur connu de ce mouvement : Jean-Luc Godard.

Ces jeunes cinéastes veulent rapprocher le cinéma du réel, avec des techniques parfois très simples : les tournages en extérieur (et non à l’intérieur de décors de cinéma), des histoires très simples, des dialogues improvisés, des acteurs peu connus, de petits budgets et des personnages réalistes.

boycotter : interdire l’accès à quelque chose, refuser collectivement

mœurs : ce qui touche à la vie privée, aux comportements des individus (en rapport avec des règles de vie, une morale…)

faire l’école buissonnière = ne pas aller à l’école

la gouaille = une manière de parler/ un parlé moqueur ou insolent, souvent populaire. Exemple : « la gouaille parisienne »

Personnage d’Antoine Doinel : figure de la rébellion/ du rebelle = celui qui se révolte contre l’ordre établi, le système

Sortie de l’enfance/ adolescence

Scène du manège/ la fête foraine

Fugue = fait de s’enfuir d’un endroit (la famille, l’institution). Le mot possède aussi un sens en musique.

Scène de la course : arrivée sur la plage

« regard caméra » = quand le personnage regarde fixement la caméra

Image arrêtée = image fixe

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